top of page
Interview sur le concept "Octobery Théorème.
Français
Octobery n’existe que dans ma création,c'est une illusion,une espèce de conception,de vision du songe où la littérature des textes est un immense puzzle avec des recoupements,une narration experte dans laquelle il faut se promener comme dans un labyrinthe.Espérant que celui qui y est invité n’y trouve pas la porte de la digue menant à la scène. L’intimité avec la folie est ubiquitaire,elle semble seulement par moments lui lâcher la main.C’est une fable dite et chantée,un conte,un caprice,une supposition de la réalité.La musique,elle aussi,est devenue un texte,ses phrases sont des pensées,des axiomes,un théorème d’amour sans la moindre soustraction mais enivré d’apophtegmes hurlés. Depuis son cercueil qu’est-ce que l’on voit………..Octobery encajolé d’une forêt où s’approche la nuit,une nuit d’octobre.L’année de l’instant n’a plus d’importance,le suicide n’existe que parce que je suis immortel…voici venu le temps enfin heureux de son apologie.Oniroscopisme et Octobery vivent en épousailles,la nuit du temps est leur immense coït,érection et vulve indistinctement imbriquées se noient dans la recherche,une poursuite inélégante où la ruse est le dogme sans artifices. Au-delà de ça,je me suis conseillé de me mettre une balle dans la tête pour des raisons qui ne vous regardent pas.
--------------------------
English
Octobery exists only in my creation,it's an illusion,a sort of conception,of vision of the dream where the literature of the texts is an immense puzzle with resections,an expert narration in which one has to have a walk like in a labyrinth.Hoping that the one who is invited there,doesn’t find the door of the dyke leading to the scene. The intimacy with the madness is ubiquitous,it seems only sometimes to free its hand. It’s a spoken and sung fable,a tale,a whim,a supposition of the reality. Music also has become a text,its sentences are thoughts,axioms,a theorem of love without the slightest subtraction but elated by yelled apophtegmas (maxims) From one’s coffin what does one see………Octobery cuddled by a forest where the night approaches,an October night.The year of the instant is of no more importance,the suicide exists only because I am immortal…here is the finally happy time of its apologia.Oniroscopism and Octobery live in nuptials,the night of time is their immense coitus, erection and vulva indistinctly imbricated drown in the research,an inelegant pursuit where trick is the dogma without devices. Beyond that,I advised to myself to shoot a bullet into my head for reasons that are none of your business.
bottom of page